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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 09:20
La longue symphonie photographique poursuit ses suites avec aujourd'hui une série consacrée au travail corporel et au groupe.
Dans  tout stage de théâtre qui se respecte il y a toujours, soit pour le jeu, soit dans le cadre des exercices du comédien, des moments consacrés au travail de groupe et des séances d'expression corporelle.Compte tenu du peu de temps dont on dispose en stage de réalisation, les exercices sont en étroite corrélation avec les besoins du jeu collectif en spectacle, et chacun est invité à créer pour son (ses) personnage (s) une gestuelle d'exercice qui parait toujours un peu superficielle  quand elle est déconnectée de son contexte, mais qui ici est immédiatement opérationnelle.
Il y avait des grands moments "collectifs" dans Nec Pluribus Impar, souvent assez statiques, à la limite du "tableaux vivant", comme dans ces quelques exemples: 

la partie de cartes:



















 la mort de Molière:



















 le salon de la Sablière:



















le bureau de Colbert:




















le rêve de Racine:



















Mais il y avait aussi de grandes scènes, avec toute la troupe, comme la Turquerie du Bourgeois Gentilhomme, traitée en théâtre dans le théâtre, ou les trois scènes symboliques du dîner du Roi, du  coucher du Roi et des chasses du Roi,ou dans cette dernière scène, les courtisans jouent les chiens de chasse, ce qui a beaucoup perturbé les stagiaires!









































































Pour arriver à ce que le groupe se forme, qu'il joue, improvise des situations personnelles au sein d'une situation collective, le travail au tambourin reste le grand outil classique!

































































































Sans oublier les exercices destinés à la dynamisation du jeu et des attitudes : les accélérés-ralentis sur un terrain de sport sont là pour ça!














































































Et puis, il y avait ce groupe improbable au début du stage, que la magie du soir, des projecteurs et l'odeur du spectacle formait. Ces veillées de travail, moments d'émotion, de poésie et de silence intérieur, pour commencer à apprendre à écouter.
































































































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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 10:11
Voici deux petites séquences photographiques, sans commentaire additionnel, qui permettent de voir l'évolution du travail des stagiaires:  "Histoire d'un balcon" et "Histoire d'une carrosse", de la conception au jeu...
Et en spectacle.
 


Histoire d'un balcon


































































































































Histoire d'un carrosse























































































































































































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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 10:00

Dans l'article consacré aux photos sur la technique pour Nec Pluribus Impar( Nec Pluribus Impar - le stage en photos (deuxième suite) ), vous avez pu voir comment avec des planches, des tubulures et de la toile peinte (ou pas), on avait essayé de créer une ambiance "Hôtel de Bourgogne". Mais avant d'en arriver là, et de souvent renoncer-car le beau est l'ennemi du bien-il y a eu beaucoup d'esquisses et des projets, dont beaucoup sont tombés dans les oubliettes, . Voici quelques uns d'entre eux finalisés ou pas 
 

Imaginez le gymnase en premier plan et l'amphithéâtre au fond.
Ce fut in fine à peu près ça, à part les balcons, car cela prenait  trop de
place pour installer les spectateurs.




































Autres hypothèses de Viviane Fines











































































Le style Louis XIV par Michèle Veismann et Viviane Fines


























Le bureau de Colbert devient en dix secondes le lit de mort de Marie Thérèse d'Autriche














































Projet retenu pour le Carosse






















Idée non retenue pour le balcon du Louvre.
On verra dans un prochain article l'histoire de ces deux accessoires.















































Contribution de l'auteur...















































Contribution de Chon






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29 août 2009 6 29 /08 /août /2009 09:21

Voici une autre facette des costumes de scène:les costumes"moyen-age".  Nous avons monté plusieurs spectacles "moyenâgeux":la Hobereaute de Jacques Audiberti, François Villon de Francis Carco, le Chevalier à la Charette de Chrétien de Troyes, Aucassin et Nicolette, et j'en oublie, mais celui qui a donné lieu à des costumes à la fois les plus discutés et de récupération, est Noir l'Arc en Ciel.
A partir de maquettes de costumes, qui reflétaient toutes les conceptions de  l'interprétation des personnages, de la plus dérisoire à la plus classique, et de bouts de chiffons souvent passés au bain de teinture, une atmosphère de cette époque à la fois simple et efficace, fut rendue. Les capes des chevaliers étaient récupérés de spectacles du Coryphée, des vieux manteaux en poil (la mode à l'époque) couvraient les bergers, des lanières de tissus faisaient des molletières, ma grand-mère a tricoté des hauberts en laine grise ou marron, donnant parfaitement l'illusion de la cote de maille et ainsi vêtu les armées croisées. (merci Alice!).
Voici, par des dessinateurs inspirés, parfois sur des papiers de récupération,  quelques maquettes de costumes et quelques échantillons pour le grand patchwork de tissus, étalé sur le sol et qui figurait la terre Cathare et leur dernier linceul. 

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29 août 2009 6 29 /08 /août /2009 07:46

Que serait un stage avec réalisation sans projos(les"500 de Robert")pour donner l'ambiance, et du son ou de la musique pour soutenir le jeu.
Si ici le choix des musiques était déja quasiment fait, je l'ai écrit dans un autre article, il y a des ajustements à faire, en durée, en  montage de "bis", etc..;
Jusque là rien que de très classique.
Pour Nec Pluribus Impar, il y avait aussi la fabrication de quelques pièces de mobilier de style, tabourets, lit se transformant par une rehausse en bureau, lustres et chandeliers, et nous le verrons plus en détail dans un autre article, carrosse et balcons.
Mais il y avait surtout le parti pris de transformer le gymnase, qui nous servait de lieu de jeu, en Hôtel de Bourgogne, où les spectateurs, sur  des praticables prendraient place, le tout intégralement blanc avec des bâches peintes  tendues en drapé et un rideau en fond de scène fait de draps blancs cousus et s'élevant par un système de poulies devant une double porte immense et blanche aussi qui était en fait le fond de la salle de spectacle de l'Institut que nous utilisions à l'envers en jouant dans les coulisses.
La salle de spectacle sera elle transformée en immense hall où trônera  le catafalque de Louis XIV, devant lequel se déroulera la scène de l'hommage de la cour.
Inutile de dire qu'il en y en a eu des schémas, des dessins, des essais pour arriver à monter des tubulures recouvertes de bâches et occulter la salle de sport afin d'avoir un noir approximatif.
Je vous montrerai quelques uns de ces dessins dans un article que je consacrerai à la scénographie des stages, mais pour l'heure, voici le reportage photographique sur tout ce dont je viens de vous parler.






















































Tout est enfin prêt...
Robert fait des essais pour la voix off de Louis XIV, finalement cela n'ira pas comme l'indique Christian le Technicien Son et Lumière dans la photo qui suit:















... y c




           


























 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le fameux rideau de scène est cousu (plus un drap de lit disponible dans l'Institut!)et accroché.Le catafalque se dessine






























































































































































































L'Hôtel de Bourgogne prend forme, pendant que Christian joue à Guignol, Liliane fait l'acrobate, et que les stagiaires peignent:en blanc! Toujours du blanc!














































Cela prend tournure, le chandelier s'éclaire et les lustres s'allument (à l'électricité eux, désolé!)
























































 Couvrez cette baie que je ne saurais voir!

































































(à suivre)


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24 août 2009 1 24 /08 /août /2009 05:55

Le stage est commencé sur les chapeaux de roues.Il n'y a en effet pas une heure à perdre pour la réalisation quand il y a autant d'exigences. Les costumes par exemple: Nec Pluribus Impar,comporte environ une centaine de personnages, et pour permettre aisément des changements à vue, même s'il ne s'agit que d'une pièce d'accessoire, il fallait simplifier les costumes. Ce n'était pas évident car le XVIIème siècle est exigent, avec ses jabots, talons, chapeaux, bottes, robes a jupons et perruques!
J'avais souhaité que tout soit blanc dans le spectacle, décors et costumes pour faire un peu cache-misère à ce siècle dans laquelle la pièce navigue.Cela a été à la fois un élément facilitateur pour les costumes, car il  y avait pour chacun une pièce de base immuable et exigeant pour les stagiaires, car tout se ressemblant, il ne fallait pas se tromper de costume aux changements de personnage.
La créativité des costumières a fait des merveilles et les stagiaires ont peaufiné, comme à l'habitude, leurs petites affaires en sus du travail individuel et collectif sur le texte, le plus souvent aux répétitions en veillée,où chacun cousait, peignait, découpait dans un silence de cathédrale, en attendant son moment de jeu, tout en surveillant son texte du coin d'un oeil et le jeu des camarades de l'autre.
Les photos rendent bien compte de cette ruche.





























































































































































































































































Tout est prêt, même la robe de Monsieur Molière...













































(à suivre)





















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23 août 2009 7 23 /08 /août /2009 12:00

Ne cherchez pas d'avantage, il s'agit de Polyeucte, le stage le plus confidentiel, s'il en fut.En fait, une sorte de détente de Pâques à la Sainte-Baume, où nous avions l'année précédente fait une prestation, avec, le lieu et la semaine sainte l'imposant, le fameux passage de la mer rouge! Certains s'en rappellent bien, il fallait rivaliser d'astuces pourpartager l'espace de travail et les stagiaires, avec John Littleton qui faisait chanter "frère-frère"! Tout cela est  encore un peu confus dans mon esprit, peut être que Jean le pêcheur cherchait son salut ou une petite soeur accorte. L'endroit devait être spécial, car il parait que le supérieur du couvent est parti avec l'une d'entre- elles!
Est-ce à cause de Littleton? de l'éducation populaire ? de l'influence de Jean Rodien? de nos plaisanteries douteuses : "occupe toi d'homélie" ou "la panne de coran"? ou bien de Polyeucte, qu'un coup de grâce a été ainsi donné à la foi monastique du commandeur local des croyants !
Seul, quelqu'un le sait !
Pour en revenir à Poyocte, surnom que Yvon Achard donna à celui qui tenait le rôle titre de la pièce de Corneille, ce stage eut de nombreux côtés exceptionnels, dont l'un d'entre eux était que nous jouions, sous la conduite de Michèlle Clergue metteur en scène, avec Jean Rodien docile comédien, qui nous apprenait à retenir nos textes et se les "mettre en bouche" pour ne pas avoir le jour venu, de "trou":en la matière, il eut, lui, un gouffre dans les rochers car le décor  retenu était la nature environnante du monastère, avec les costumes les plus simples qu'il soit. Tout était consacré au plaisir du jeu.
Yvon Achard et son épouse Jacotte faisaient également partie de cette distribution exceptionnelle et éphémère.
Une amie de Michèlle, CTP et comédienne, Françoise Matricon, Jean Pierre, Raymond,  Michel Potage et moi, complétions la troupe. Les spectateurs n'étaient pas nombreux, mais cela importait-il ?
Voici quelques photos de "ce stage" en répétitions et en jeu (quand on est habillés!)         

 

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21 août 2009 5 21 /08 /août /2009 10:00

J'ai essayé au cours de ces divers épisodes, d'évoquer ces moments merveilleux passés à Voiron, d'abord comme stagiaire, en premier et deuxième degré, puis en assistant zélé, dès les stage de juillet 1969, du 30 juin au 7 juillet pour le premier degré et du 10 au 25 juillet pour le second, cela fait donc 40 ans!
Voici, sans Jean Rodien, Michelle Clergue et Yvon Achard, Camille Rouvière ne faisant plus partie de la distribution, la photo des premiers assistants, où manque Maryse Permezel, puisque nous étions 8 en tout.
 
de gauche à droite:Yves Doncque,  Marc Donville, Antoinette Gillet, Raymond Derynck.  

























 

Nous étions prêts à accueillir en premier degré, une ardèchoise, six drômois et drômoises, douze isèroises et isèrois, trois haut-savoyardes, une savoyarde, et trois "étrangers" à la région.
Quelle tête allaientt faire ces 26 recrues ? comment allions-nous nous comporter ? Quel trac !
Mais trac aussi pour le second degré, car parmi les 21 "élus" il y avait des copains avec lesquels on avait fait du théâtre ou des stages, et certains auraient pu aussi être des "assistants".
Cela s'est bien passé, même très bien, le vers était dans le fruit, et pendant de nombreuses années certains ont continué sous des formes diverses autour du théâtre, et certains continuent encore, quarante ans plus tard.

En guise de conclusion (provisoire), n'oublions pas que tous les stagiaires, passaient par l'épreuve "photo de classe", ce qui nous donne aujourd'hui des souvenirs émouvants, en voici des " promotions" 1967,1968 et 1969.
Si vous en avez d'autres, le blog sera heureux de les accueillir.

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( Sur cette photo, Maryse Permezel, citée plus haut est juste derrière Jean Rodien)


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21 août 2009 5 21 /08 /août /2009 05:03

J'aborde aujourd'hui une longue série d'articles, consacrés aux photos de Nec Pluribus Impar. Rarement un stage aura été aussi couvert par des photos du début à la fin et même avant qu'il ne commence!
Il y aura huit articles, le premier d'entre eux sera consacré à l'équipe d'encadrement de Nec Pluribus Impar, qui par son implication, sa pugnacité et sa solidarité m'aura permis de conduire au bout cette folle aventure.Je me suis rendu compte a posteriori de ce que je leur devais, alors permettez-moi de réparer un gros oubli:
Merci à Chon, mon épouse et costumière qui assurait aussi le travail de répétition et mon soutien.Merci à Robert, notre hôte et néanmoins ami, souvent moqué, rarement égalé. Merci à Françoise et Christian, costumière accessoiriste et répétitrice de texte pour la première, technicien avisé et fidèle pour le second. Merci à Michèle, chef costumière, d'avoir réalisé ce dont je rêvais. Merci à Liliane, notre ancienne stagiaire qui a acquis ses galons avec maestria. Merci à Viviane, dont la maternité nous a privé de ses remarques pertinentes et de son fidèle rire, mais qui était présente parmi nous par la pensée.

Un stage de réalisation en quinze jours nécessite une longue préparation,sur le papier tout d'abord:texte, tableaux de travail, esquisses, maquettes, listes, budget etc... Mais aussi in-situ, pour vérifier les hypothèses, les textes, les mises en scène, et souder l'équipe autour du projet. Ce travail de préparation se fait également au jour le jour pendant le stage, car j'aime à dire qu'il faut toujours avoir 24 h d'avance sur les stagiaires.
 




























































































































































Christian, en Nijinski du pauvre comme il le dit lui même, et Liliane cherchent une mise en place pour la Turquerie du Bourgeois Gentilhomme: cela change le premier de son magnétophone, ses câbles, son jeu d'orgue, ses projos en tout genre.





































































































 

 

Je ne sais pas si les stagiaires imaginent que leur encadrement, lors des mises en  place, a essuyé avant eux les plâtre d'un texte et d'un jeu. C'est un plaisir qui compense la frustration de ne pas jouer quand on dirige les autres. Ici, Viviane la maternité triomphante, Chon, Christian, Françoise et Robert, s'amusent sous l'oeil de Néron, le chien philosophe, à jouer la scène du salon de La Sablière.










































































































Des conditions matérielles confortables pour l'équipe d'encadrement, n'empêchent pas les moments de doute, de fatigue, et de découragement: tout est à faire!

















































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(à suivre)



 

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30 juillet 2009 4 30 /07 /juillet /2009 19:00

Pour le stage deuxième degré "réalisation" de 1973, un livre vivant tiré du roman de Selma Lagerloff fut monté. Il s'agissait de Gösta Berling et on en a déjà parlé dans quelques articles.
La musique de scène du montage avait été conçue dans la perspective d'une représentation en plein air, avec la participation du parc de la Brunerie, comme témoin ou conteur silencieux à qui la musique prêtait une voix.Les plages sont donc longues pour "installer" l'ambiance, et l'utilisation de leit-motiv tente de structurer cette histoire un peu complexe.
On a vu ce qu'il est advenu du "plein air"(cf
Gosta sous la pluie & Gosta sous la pluie 2 ), mais la musique restât la même avec son romantisme échevelé et typé comme le texte  par l'Europe du nord.
Pour la première fois, Malher et Bruckner furent utilisés. Ce fut l'unique fois pour le second. En complément et pour la couleur locale:Grieg et Sibélius et pratiquement en "bruitage " Stockhausen.

Comme à l'habitude, vous pouvez suivre les 20 numéros de la bande sur le texte lui même aux emplacements des clés de sol portant les même numéros( Gosta... encore ).
Il ne s'agit pas de la bande originale, car elle a subit des dégâts irrémédiables, mais d'un remaque remasterisé des thèmes réalisé, 30 ans après le spectacle, en 2003.

 

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arlequin






01 Ouverture (Malher)

 


02 Belles du temps jadis 1 (Grieg)


03 Les cavaliers (Mahler)


04 Le diable (Bruckner)


05 Les cavaliers-beuverie (Mahler)


06 Belles du temps jadis 2 (Grieg)


07 Les loups (Mahler)


08 Belles du temps jadis 3 (Grieg)


09 Belles du temps jadis 4 (Grieg)


10 Bal chez Julius 1 (Sibélius)


11 Bal chez Julius 2 (Sibélius)


12 Bal chez Julius 3 (Sibélius)


13 Belles du temps jadis 5 (Grieg)


14 Bal chez le bailli Scharling (Grieg)


15 Danse paysanne (Grieg)


16 Partie de cartes (Mahler)


17 A Ekeby ! (Mahler)


18 La forge (Stockhausen)


19 Mort de la commandante et Noël ( Grieg-Mahler)


20 Final (Mahler)









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